Title
Entrevue avec Marie-Jeanne Dupuis, sur la pratique familiale de la danse traditionnelle
Subject
Danse
Transmission de la danse
Apprentissage de la danse
Répertoire de danse
Gigue
Veillée
Les Petits Pas Jacadiens
Famille Dupuis
Marie-Jeanne Dupuis
Lucille Thibodeau
Saint-Jacques
Chanson
Description
Note du collecteur :
Des photos de l'informatrice ont été prises. Normand Degrandpré, mari de l'informatrice, était présent. Stéphanie Lépine agissait à titre de technicienne.
00 :00 :00 : Identification de l’entrevue
00 :00 :33 : Contact durant l’enfance avec la pratique
Chez son grand-père à St-Liguori dans le Rang de la Rivière-Rouge au jour de l’An. Sa mère était toujours à la recherche d’un cavalier puisque son mari n’aimait pas danser.
Son grand-père jouait de l’harmonica.
Valeurs : rassemblement, être ensemble, la fête, simplicité.
Marie-Jeanne a dansé pour la première fois vers 9-10 ans [11-12 ans].
00 :06 :23 : Historique de la famille / communauté en lien avec la pratique
Ses oncles et tantes dansaient, mais pas son grand-père. Chez les Dupuis ça ne dansait pas. Elle a chanté sa première chanson chez son grand-père Dupuis vers l’âge de 12 ans : « Mademoiselle qui vous a donné ». À l’adolescence, il se faisait des partys chez ses parents. Son oncle Lucien Jetté, le mari d’Yvette Thibodeau (sœur de sa mère), chantaient. Elle ne sait pas s’il y avait d’autres familles qui dansaient dans la paroisse.
Son frère Gus a débuté la gigue vers 8-10 ans.
Au party de cabane à sucre, il fallait danser un set. Ses frères et sœurs ont commencé à danser lorsque leur mère faisait des partys vers 12-13-14 ans. Ils n’ont pas dansé aux jour de l’An à St-Liguori car ils étaient trop jeunes.
00 :12 :40 : Transmission dans la famille / La continuité de la pratique de la danse
Les chums et les blondes se sont intégrés naturellement à cette coutume. Pour la plus part, c’était leur initiation. Les enfants ne demandaient pas mieux que de danser. Ils leur faisaient danser des rondes.
Mme Dupuis (sa mère) tirait après les nouveaux arrivants dans la famille pour les faire danser : « Viens danser, viens danser, j’sais pas danser, on va te le montrer c’est pas grave. ». C’était sa mère qui « runnait » la barque. Ils apprenaient par l’exemple. Ils voyaient qu’on s’amusait, ça se faisait naturellement. Ils apprenaient sur le tas. Ils ne prenaient pas le temps de leur expliquer et ne leur laissait pas la chance de regarder avant de vivre l’expérience.
Les collègues de travail de ses enfants demeurent étonnés de constater que ça se danse encore des sets carrés. Ils disent : « Ça doit être le fun, nous autres c’est assez plate nos jour de l’An ».
Aujourd’hui, la transmission se fait aux petits-enfants. Elle a dansé son premier set avec ses enfants et ses petits-enfants (7) âgé entre 4 et 8 ans.
[Le premier set s’est dansé en février 2011 et non en 2010.]
Quand l’habitude de se rassembler chez son frère la veille du jour de l’An cessera : « Quand ça va tomber, ce sera à moi à dire on fait quelque chose ici. On ne peut pas passer un jour de l’An sans danser, c’est impossible ».
00 :24 :43 : Apprentissage
Elle a appris à danser par imitation et sans explication. Elle sentait que les enfants faisaient partie de la gang, qu’ils n’étaient pas exclus, mais plutôt les bienvenus. Elle dit : « Ça nous encourageait et ça nous motivait. » C’était une étape dans sa vie.
Répertoire : « La chaîne des dames » et « Passé par six ». Au 50e de ses parents, les enfants avaient appris une chaîne nouvelle : « Au-dessus, en-dessous ». Marie-Jeanne avait appris ce set de Claude Joly, un de ses collègues chez Mailhot Hydraulique. Il avait appris cette danse dans un contexte de revivalisme.
00 :32 :15 : Contexte de la pratique et lieu d’exécution
Jour de l’An, fête spécial comme un anniversaire de mariage. Avant ça, sa mère faisait plus de party. Dès qu’il y avait un rassemblement de la famille élargie, ça dansait, 2-3 fois par année, un à l’hiver, à la cabane à sucre et au jour de l’An.
Présentement, ils dansent dans le garage chez son frère Gus. Avant, C'était à la Cabane à sucre Normand Lafortune à St-Alexis et au Vieux-Collège à St-Jacques.
Souvent les veillées se terminaient à 4-5h du matin. Aujourd’hui, ça se termine vers 2h-2h30 du matin. Ça commence vers 21h-21h30. La danse prend vers 22h-22h15 avant la chanson. Pour chanter il faut être plus « dégêné », mais danser ça se fait tout seul.
Danse sociale : Rock’n roll, cha-cha, valse
Pourquoi tu danses ? « J’oublie tout, ça m’énergise et ça me rappelle de très bons souvenirs. Rester assise quand un bon reel joue, c’est quasiment un supplice. »
00 :39 :13 : Répertoire de danse et description
La chaîne des dames (pas de main gauche au coin) : Appris chez son grand-père à St-Liguori.
Passé par six [Appris avec sa mère et ses oncles et tantes.]
00 :46 :10 : La gigue
C’est mononcle Lucien Jetté qui a apporté ça dans la famille. Ti-Guy a appris à giguer. Lucien dansait la giguel’ simple, mais l’histoire ne dit pas si c’est la Grande gigue simple. [Marie-Jeanne connaît des pas de gigue.]
00 :48 :17 : Répertoire de danse et description, suite
Paul Jones, de 1975-80 à 1990 environ.
La polka se dansait dans les veillées à St-Alexis.
Note du collecteur : La carte mémoire était pleine, donc l’enregistrement a arrêté sans que personne s’en aperçoive. Il manque un bout de l’entrevue dont toute la partie : Mode d’exécution de la pratique.
00 :52 :36 : Accompagnement de la danse
Elle s’accompagne d’une petite gigue en dansant dans la promenade. Elle peut s’accompagner de pas sauté ou de two-step aussi, ça dépend de son humeur et du moment. Sa mère s’accompagne du two-step dans la promenade.
Formule pour demander à danser : Viens danser. S’il ne veut pas, on insiste pis on tire après.
Cri : Yâhou… !!! Entre autre, quand on foule au centre.
Câlleur à l’intérieur du set : C’était Jean-Pierre Migué qui câllait, mais depuis son décès [11 juin 2010], c’est soit son fils Nelson ou Marie-Jeanne. Autrefois, c’était Georges Lépine de St-Liguori qui câllait. Ça met du piquant un bon câlleur. Ça dépend toujours de sa personnalité.
01 :02 :18 : Pourquoi la pratique de la danse a cessé dans un contexte familial ?
« Les gens se compliquent plus les affaires. Ça prend des gens qui portent le flambeau. En n’ayant pas ces gens là… On ne peut pas imposer ça, ça ne s’impose pas. »
01 :04 :28 : La transmission de la danse traditionnelle et du patrimoine vivant dans le futur.
« Ça s’impose pas, mais ça prend une volonté en quelque part. Moi je ne sais pas comment je vais réagir quand on va arrêter de se réunir en grosse famille là. Je vais sentir que j’ai quelque chose à faire dans ça moi là là. Tout dépendant si j’ai le goût de faire quelque chose avec ça ou si je laisse tomber. Tranquillement, en tout cas dans notre famille, ça va se perdre à moins que nos enfants trouvent une importance à un moment donné. »
01 :08 :17 : Intérêt de transmettre les danses traditionnelles à sa communauté
01 :10 :07 : Opinion sur Les Petits Pas Jacadiens
01 :14 :53 : Retour et précisions demandés par Stéphanie Lépine
L’oncle de Normand Degrandpré, Hector Fafard de St-Cuthbert, câllait en anglais.
Rémi Marsolais de la Petite Ligne de St-Alexis jouait de l’accordéon.
Introduction des danses
Sa belle-sœur, Monique Lépine de St-Liguori, dansait également dans sa famille.
01 :23 :52 : Qu’est-ce que vous pensez de la collecte que nous faisons avec vous ?
Des photos de l'informatrice ont été prises. Normand Degrandpré, mari de l'informatrice, était présent. Stéphanie Lépine agissait à titre de technicienne.
00 :00 :00 : Identification de l’entrevue
00 :00 :33 : Contact durant l’enfance avec la pratique
Chez son grand-père à St-Liguori dans le Rang de la Rivière-Rouge au jour de l’An. Sa mère était toujours à la recherche d’un cavalier puisque son mari n’aimait pas danser.
Son grand-père jouait de l’harmonica.
Valeurs : rassemblement, être ensemble, la fête, simplicité.
Marie-Jeanne a dansé pour la première fois vers 9-10 ans [11-12 ans].
00 :06 :23 : Historique de la famille / communauté en lien avec la pratique
Ses oncles et tantes dansaient, mais pas son grand-père. Chez les Dupuis ça ne dansait pas. Elle a chanté sa première chanson chez son grand-père Dupuis vers l’âge de 12 ans : « Mademoiselle qui vous a donné ». À l’adolescence, il se faisait des partys chez ses parents. Son oncle Lucien Jetté, le mari d’Yvette Thibodeau (sœur de sa mère), chantaient. Elle ne sait pas s’il y avait d’autres familles qui dansaient dans la paroisse.
Son frère Gus a débuté la gigue vers 8-10 ans.
Au party de cabane à sucre, il fallait danser un set. Ses frères et sœurs ont commencé à danser lorsque leur mère faisait des partys vers 12-13-14 ans. Ils n’ont pas dansé aux jour de l’An à St-Liguori car ils étaient trop jeunes.
00 :12 :40 : Transmission dans la famille / La continuité de la pratique de la danse
Les chums et les blondes se sont intégrés naturellement à cette coutume. Pour la plus part, c’était leur initiation. Les enfants ne demandaient pas mieux que de danser. Ils leur faisaient danser des rondes.
Mme Dupuis (sa mère) tirait après les nouveaux arrivants dans la famille pour les faire danser : « Viens danser, viens danser, j’sais pas danser, on va te le montrer c’est pas grave. ». C’était sa mère qui « runnait » la barque. Ils apprenaient par l’exemple. Ils voyaient qu’on s’amusait, ça se faisait naturellement. Ils apprenaient sur le tas. Ils ne prenaient pas le temps de leur expliquer et ne leur laissait pas la chance de regarder avant de vivre l’expérience.
Les collègues de travail de ses enfants demeurent étonnés de constater que ça se danse encore des sets carrés. Ils disent : « Ça doit être le fun, nous autres c’est assez plate nos jour de l’An ».
Aujourd’hui, la transmission se fait aux petits-enfants. Elle a dansé son premier set avec ses enfants et ses petits-enfants (7) âgé entre 4 et 8 ans.
[Le premier set s’est dansé en février 2011 et non en 2010.]
Quand l’habitude de se rassembler chez son frère la veille du jour de l’An cessera : « Quand ça va tomber, ce sera à moi à dire on fait quelque chose ici. On ne peut pas passer un jour de l’An sans danser, c’est impossible ».
00 :24 :43 : Apprentissage
Elle a appris à danser par imitation et sans explication. Elle sentait que les enfants faisaient partie de la gang, qu’ils n’étaient pas exclus, mais plutôt les bienvenus. Elle dit : « Ça nous encourageait et ça nous motivait. » C’était une étape dans sa vie.
Répertoire : « La chaîne des dames » et « Passé par six ». Au 50e de ses parents, les enfants avaient appris une chaîne nouvelle : « Au-dessus, en-dessous ». Marie-Jeanne avait appris ce set de Claude Joly, un de ses collègues chez Mailhot Hydraulique. Il avait appris cette danse dans un contexte de revivalisme.
00 :32 :15 : Contexte de la pratique et lieu d’exécution
Jour de l’An, fête spécial comme un anniversaire de mariage. Avant ça, sa mère faisait plus de party. Dès qu’il y avait un rassemblement de la famille élargie, ça dansait, 2-3 fois par année, un à l’hiver, à la cabane à sucre et au jour de l’An.
Présentement, ils dansent dans le garage chez son frère Gus. Avant, C'était à la Cabane à sucre Normand Lafortune à St-Alexis et au Vieux-Collège à St-Jacques.
Souvent les veillées se terminaient à 4-5h du matin. Aujourd’hui, ça se termine vers 2h-2h30 du matin. Ça commence vers 21h-21h30. La danse prend vers 22h-22h15 avant la chanson. Pour chanter il faut être plus « dégêné », mais danser ça se fait tout seul.
Danse sociale : Rock’n roll, cha-cha, valse
Pourquoi tu danses ? « J’oublie tout, ça m’énergise et ça me rappelle de très bons souvenirs. Rester assise quand un bon reel joue, c’est quasiment un supplice. »
00 :39 :13 : Répertoire de danse et description
La chaîne des dames (pas de main gauche au coin) : Appris chez son grand-père à St-Liguori.
Passé par six [Appris avec sa mère et ses oncles et tantes.]
00 :46 :10 : La gigue
C’est mononcle Lucien Jetté qui a apporté ça dans la famille. Ti-Guy a appris à giguer. Lucien dansait la giguel’ simple, mais l’histoire ne dit pas si c’est la Grande gigue simple. [Marie-Jeanne connaît des pas de gigue.]
00 :48 :17 : Répertoire de danse et description, suite
Paul Jones, de 1975-80 à 1990 environ.
La polka se dansait dans les veillées à St-Alexis.
Note du collecteur : La carte mémoire était pleine, donc l’enregistrement a arrêté sans que personne s’en aperçoive. Il manque un bout de l’entrevue dont toute la partie : Mode d’exécution de la pratique.
00 :52 :36 : Accompagnement de la danse
Elle s’accompagne d’une petite gigue en dansant dans la promenade. Elle peut s’accompagner de pas sauté ou de two-step aussi, ça dépend de son humeur et du moment. Sa mère s’accompagne du two-step dans la promenade.
Formule pour demander à danser : Viens danser. S’il ne veut pas, on insiste pis on tire après.
Cri : Yâhou… !!! Entre autre, quand on foule au centre.
Câlleur à l’intérieur du set : C’était Jean-Pierre Migué qui câllait, mais depuis son décès [11 juin 2010], c’est soit son fils Nelson ou Marie-Jeanne. Autrefois, c’était Georges Lépine de St-Liguori qui câllait. Ça met du piquant un bon câlleur. Ça dépend toujours de sa personnalité.
01 :02 :18 : Pourquoi la pratique de la danse a cessé dans un contexte familial ?
« Les gens se compliquent plus les affaires. Ça prend des gens qui portent le flambeau. En n’ayant pas ces gens là… On ne peut pas imposer ça, ça ne s’impose pas. »
01 :04 :28 : La transmission de la danse traditionnelle et du patrimoine vivant dans le futur.
« Ça s’impose pas, mais ça prend une volonté en quelque part. Moi je ne sais pas comment je vais réagir quand on va arrêter de se réunir en grosse famille là. Je vais sentir que j’ai quelque chose à faire dans ça moi là là. Tout dépendant si j’ai le goût de faire quelque chose avec ça ou si je laisse tomber. Tranquillement, en tout cas dans notre famille, ça va se perdre à moins que nos enfants trouvent une importance à un moment donné. »
01 :08 :17 : Intérêt de transmettre les danses traditionnelles à sa communauté
01 :10 :07 : Opinion sur Les Petits Pas Jacadiens
01 :14 :53 : Retour et précisions demandés par Stéphanie Lépine
L’oncle de Normand Degrandpré, Hector Fafard de St-Cuthbert, câllait en anglais.
Rémi Marsolais de la Petite Ligne de St-Alexis jouait de l’accordéon.
Introduction des danses
Sa belle-sœur, Monique Lépine de St-Liguori, dansait également dans sa famille.
01 :23 :52 : Qu’est-ce que vous pensez de la collecte que nous faisons avec vous ?
Format
.Wav 24 bits 48kHz
Creator
JETTÉ Philippe
Marie-Jeanne Dupuis
Centre du Patrimoine Vivant de Lanaudière
Publisher
Centre du Patrimoine Vivant de Lanaudière
Date
2012-06-04
Contributor
Stéphanie Lépine
Rights
Consultation sur place au CPVL
Language
Français
Type
Document sonore
Coverage
Centre du Patrimoine Vivant de Lanaudière
1661-A rue Principale
Saint-Côme (Québec)
CANADA J0K 2B0
1661-A rue Principale
Saint-Côme (Québec)
CANADA J0K 2B0
Collecteur
Philippe Jetté
Informateur
Marie-Jeanne Dupuis
Notice biographique / histoire administrative
Marie-Jeanne Dupuis est née le 6 avril 1947 à Saint-Jacques. Son père, Jean-Marie, est natif de Saint-Jacques et sa mère, Lucille Thibodeau, de Saint-Liguori. Ses grands-parents paternels sont Wilfrid Dupuis natif de St-Jacques et Paméla Forest native du Rang de la Rivière-Rouge à Saint-Liguori. Ses grands-parents maternels, Armand Thibodeau et Amanda Lapointe, sont natifs de Saint-Liguori.
Marie-Jeanne est l'aînée d'une famille de sept enfants : Marie-Jeanne, Lucie, Gervais, Gérard, Jocelyne, Guy et Luc. Elle compte un Brevet B comme scolarité. Elle a été enseignante pendant quatre ans avant d'être mère de famille. Ensuite, elle a terminé sa carrière comme commis de bureau chez Mailhot Hydraulique.
Marie-Jeanne Dupuis est mariée à Normand Degranpré avec qui elle a eu quatre enfants : Julie, Valérie, Nadia et Simon Degrandpré.
Marie-Jeanne est l'aînée d'une famille de sept enfants : Marie-Jeanne, Lucie, Gervais, Gérard, Jocelyne, Guy et Luc. Elle compte un Brevet B comme scolarité. Elle a été enseignante pendant quatre ans avant d'être mère de famille. Ensuite, elle a terminé sa carrière comme commis de bureau chez Mailhot Hydraulique.
Marie-Jeanne Dupuis est mariée à Normand Degranpré avec qui elle a eu quatre enfants : Julie, Valérie, Nadia et Simon Degrandpré.
Lieu
Résidence de l'informatrice, Rang Saint-Jacques, Saint-Jacques, Qc
Durée
01:24:31
Pas
Two-step pendant la promenade
Sauté pendant la promenade
Gigué pendant la promenade
Savoir-faire
Danse
Chanson
Grille Du Berger
651000 - Danse traditionnelle
652000 - Danse sociale et populaire
642000 - Musique vocale traditionnelle
Cote Mnémo
DT108 set carré
DT106 gigue
DT110 Paul Jones
DT114 polka